" Du moment que ce n'est que sur InternetCa n'ira jamais plus loin" (...)
Et de cette déclaration,
Coulerent des larmes sans raison.
A l'aude de sa vie,
Les plus belles folies l'ennuient.
Et de même, toutes les frasques enfantines,
Plus rien de l'egaie, toutes les pieces s'assemblent
Et ses idées s'acheminent,
Et ses desseins s'assombrissent.
Un Ange, seul, la tire de sa morosité,
Et quand Il lui murmure de douces chansons,
De sa voix veloutée,
Elle se sent devenir Sa protegée,
Et Elle s'exulte de cette adoption.
Ma tres chere,
ce n'est pas QUE virtuel.
Tout le sang et les larmes versés,
Malgres qu'ils puissent etre controversés
Eux, ne font pas partie d'un code binaire,
Mais de " Nous ", ce qui m'est encore plus indispensable que l'air.
A mon Ange.